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Règle n°1 du marketing, bancaire ou non : sourire au client. Il n'y a pas à dire, la Banque Internationale du Burkina (BIB) sait offrir son plus beau sourire sur tous ses distributeurs automatiques de billet !
Règle n°2 du marketing : s'adapter aux besoins client. Ce que fait parfaitement la Bank of Africa (BOA) pour ses crédits "financement d'embouche - pour accroître votre cheptel".
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Envie de voir un match de foot à Fada ? Comme la toute grande majorité de la population n'a même pas l'électricité (sans même parler d'une télévision ou d'une antenne parabolique), la solution est communautaire : dans la grande salle de la maison des jeunes "TV5 Monde" sont organisées des séances sur grand petit écran.
Pour 100 CFA seulement (0,15 EUR), les amateurs de ballon rond peuvent donc par exemple suivre la Coupe d'Afrique des Nations, la Champion's League, les grands championnats européens... et bientôt la Coupe du Monde de Football en Afrique du Sud.
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Pour occuper les enfants, il faut de temps en temps se renouveler. Et comme souvent (surtout ici) c'est avec deux fois rien que les enfants s'amusent.
Exemple ici avec un chamboule-tout, réalisé avec quelques canettes de "sucreries" (et de bière belge ramenée dans les valises) lestée avec un peu de sable.
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Ce 1er mai finissait la 18e édition du célèbre festival Jazz à Ouaga. Etant justement de passage à la capitale en ce week-end de la fête du travail, nous ne voulions pas rater cet évènement.
A l'affiche : Seydou ZOMBRA, un célèbre chanteur burkinabè remontant sur la scène après 20 ans d'absence (Burkina Faso) et Mina AGOSSI, une chanteuse franco-béninoise à la voix extraordinaire, accompagnée d'un contrebassiste "électrique" et d'un batteur.
Juste au moment où le premier concert devait commencer, il a commencé à "goutter" (expression habituelle signifiant qu'il pleut légèrement). C'est du côté du public que se tenait alors le spectacle (cf. photo avec les coussins en guise de parapluies), sachant que la salle principale du Centre Culturel Français est en plein air...
Mais c'était sans compter sur l'intervention des nombreux Sawadogo (un nom de famille courant dans l'ethnie Mossi) appelés à la rescousse (ils sont en effet réputés être les maîtres de la pluie, tant pour la retenir que pour déclencher des déluges susceptibles de s'abattre sur leurs ennemis) car la petite pluie n'est finalement assagie et le spectacle, bien que retardé, a pu avoir lieu.
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Bien malgré elle, Audrey a dû "tester" le Centre Médical International à Ouaga.
Souffrant d'une gastro-entérite invasive particulièrement violente (40° de fièvre et déshydratée en 1/2 journée !), elle a en effet été hospitalisée 72 heures. Puis elle a encore dû rester 4 jours à Ouaga pour y subir des injections journalières et effectuer un check-up final avant de pouvoir rentrer tout à fait rétablie à Fada.
Mais soyez rassurés : sur près de 20 mois, c'est la première fois qu'elle a un souci de santé. Et même si ces quelques jours n'avaient rien d'agréable (surtout en raison des spasmes violents), il ne s'agissait en soi de rien de grave.
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Le stade du 4 août est le grand stade "multifonction" de Ouagadougou. D'une capacité de 35.000 places, il accueille essentiellement des matches de foot, mais également des évènements culturels tels que des concerts majeurs (comme Sean Paul en décembre dernier).
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A une quinzaine de kilomètres au Nord-Est de Ouagadougou se trouve Loumbila, le "Ouaga-plage". Situé au bord d'un énorme barrage qui alimente d'ailleurs en eau potable la capitale, le site accueille traditionnellement les ouagalais désireux d'aller prendre l'air le week-end.
Les restaurateurs l'ont bien compris et ont créé les infrastructures idéales pour accueillir tout ce beau monde. Ainsi, le Loumbila Beach dispose d'un restaurant, d'un bar, d'une boutique, d'une plaine de jeux, d'un ponton (l'eau arrivant au niveau de celui-ci en saison des pluies, comme on ne le devinerait pas en voyant la photo ci-dessous).
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Autre établissement situé le long du barrage à Loumbila : le Cabri de Loumbila.
L'endroit est nettement plus simple que le Loumbila Beach, mais par contre on peut y déguster une bonne salade au fromage de chèvre chaud ou froid (lequel est produit sur place, comme le suggère le nom de l'établissement).
En outre, pour le plaisir des enfants, il est possible d'y voir quelques grandes tortues ou d'y faire une balade à dos de dromadaire.
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Le Cabri de Loumbila compte une centaine de chèvres. Les produits de la fromagerie peuvent être consommés sur place ou même achetés notamment au principal supermarché (le Marina) de Ouaga.
Ci-dessous, la chaîne de fabrication du fromage :
- le lait frais, auquel sont ajoutés la présure et les ferments, caille dans un grand récipient lui-même plongé de de l'eau fraîche qui s'écoule et est renouvelée en permanence grâce à la jarre supérieure
- après cette étape, le fromage est égoutté dans les petits pots placés sous un linge
- les pots sont ensuite placés quelques heures sur l'étagère à fromage, protégée par un fin grillage
- pour être enfin conservés dans un grand frigidaire (alimenté par une bouteille de gaz, puisque la zone n'est pas électrifiée...)
- il ne reste alors plus qu'à apposer l'étiquette du fromage frappée du logo du Cabri de Loumbila et à organiser la distribution
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Ce 10 mai est arrivée mamy, qui restera avec les enfants et nous jusqu'à la fin de l'année scolaire.
Elle rentrera en effet au pays accompagnée de Quentin et d'Audrey fin juin, soit un bon mois avant notre propre retour pour un mois complet de vacances "au frais" (par rapport à ici)...