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C'est l'antilope la plus répandue dans le parc. D'instinct grégaire, le cobe peut atteindre 90 kg. Le mâle dominant et ses femelles accompagnées de jeunes, forment des troupeaux pouvant atteindre plusieurs dizaines d'individus. L'organisation sociale du cobe de buffon est complexe : c'est la femelle qui choisit son partenaire et il n'est pas rare de voir des jeunes mâles, exclus d'un territoire, vivre en bandes.
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Sa taille, son allure générale, sa tête longue et étroite, ses cornes incurvées en guidon de vélo, son galop bizarre font de cette antiloppe rousse de 150 kg une bête curieuse et peu méfiante. Volontiers sédentaires, les bubales s'observent en troupeaux de 5 à 18 individus, dirigés par un mâle dominant et gardés par des sentinelles.
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Cette petite antilope au pelage lisse est très craintive. Sa robe, brun rouge ou parfois jaunâtre est marquée de 6 à 7 fines rayures blanches verticales. D'où son sobriquet "harnaché".
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L'hippotrague est une antilope robuste, puissante et élégante. C'est la plus grande antilope d'Afrique avec 1,50 m au garrot et ses 280 kg. Il vit en troupeau de 15 à 30 individus. Le mâle forme avec la femelle qu'il a choisie dans le troupeau un couple stable et complémentaire.
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Le cobe Redunca s'observe souvent à proximité des troupeaux de cobes de Buffon. Il est plus petit et ses cornes annelées finissent leur courbe vers l'avant.
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Le cobe Defassa est uen antilope commune de 150 à 180 kg. Le mâle possède de jolies cornes dressées à courbure concave et, comme son cousin de Buffon, est d'instinct grégaire. A la fin de la saison sèche, les mâles s'associent en bandes de 20 à 25 individus et se mêlent aux bubales, hippotragues et cobes de Buffon et même parfois aux troupeaux de buffles. C'est un phénomène spectaculaire, encore peu expliqué.
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La saison des pluies débute plus tôt et finit plus tard au Bénin qu'au Burkina. Et même si le premier orage de la saison n'était a priori pas au programme et incite plutôt les animaux à rester à l'abri, ce fut un magnifique spectacle de la nature :
- le contraste des couleurs, avec la lumière intense et chaleureuse sur la mare se détachant sur le gris profond du ciel
- les gouttes d'eau brillantes s'écrasant dans la mare
- la pluie dans le ciel lumineux
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Qui dit tourisme de vision dit... visionneurs.
- Voici tout d'abord, sur la galerie du 4x4, respectivement Marc, Audrey, Quentin et Laurence assis, avec Gaël debout.
- Ensuite, Marguerite, Petra et Laurence contemplatives aux jumelles.
- Et pour circuler dans le parc, on confie le volant à plusieurs personnes à tour de rôle : tantôt Quentin, tantôt Audrey, tantôt le pilotage automatique. Toujours sous la supervision expérimentée de Gaël bien entendu...
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Le tout, même sans hors piste :
- En principe, les pistes à l'intérieur du parc sont sans surprise
- Ceci étant dit, un arbre peut parfois s'y coucher, auquel cas à défaut d'une machette il faut sortir légèrement de la piste. En cas de bonne pluie, embourbement quasi garanti
- Mais pire qu'expérience d'un embourbement, c'est celle du vol plané à partir du toit du véhicule (pour vous, Quentin a testé !) lorsque, pour croiser un véhicule venant en sens inverse, la roue avant de notre 4x4 plonge dans un trou et arrête le véhicule net. Enfin, tant que le lion n'est pas dans les parages...
- Aux mares principales, des miradors d'observation permettent de s'installer de nombreuse heures pour profiter des bruits de la nature et des allées/venues de la faune
- La faune est surtout visible aux heures "fraîches", c'est-à-dire au lever et au coucher du soleil. Bref, histoire d'en profiter un maximum, réveil à 5h du mat' et circulation jusqu'à la tombée de la nuit !
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Enfin Batia, l'entrée du parc avec son portail et son grand panneau affichant le plan. Une fois sur les pistes, des pancartes indiquent (parfois) la direction à suivre. Et enfin on arrive au campement, lequel est alimenté par un groupe électrogène et approvisionné régulièrement à l'aide de pick-ups faisant la navette.