- Détails
En attendant la prochaine édition, le FESDIG 2010 s'est terminé en beauté par la remise des prix aux lauréats... et par une visite de courtoisie au Chef Coutumier du village hôte.
- Détails
Un festival existe certes grâce à ses organisateurs, mais aussi et surtout grâce au public.
Et c'est précisément la présence de ce public, chaque année plus nombreux, qui donne des ailes aux organisateurs...
- Détails
Un festival de l'ampleur du FESDIG n'existerait pas sans une solide équipe d'organisateurs.
En tout, ils sont près de 200 à s'être investis personnellement et gracieusement pour cet évènement mettant à l'honneur la culture burkinabè et l'interculturalité.
- Détails
Un festival, c'est bien évidemment un concentré de musique, d'animations et de concerts.
Le FESDIG allie artistes modernes et traditionnels. Qu'ils soient ici tous remerciés pour leurs remarquables prestations !
- Détails
Tout au long des 4 journées, le site du festival a été parcouru de diverses animations. Quelques exemples :
- les Grands Hommes de Boromo
- la lutte traditionnelle
- le concours de tenues traditionnelles
- les activités de grimage et de jeux organisées par la classe d'élèves venue de Belgique
- Détails
Les stands étaient particulièrement nombreux cette année, mettant en avant notamment :
- les activités agro-pastorales
- l'artisanat (par exemple ici les tisserands traditionnels, les boutiques d'articles divers valorisant le pagne tissé, les t-shirts modernes)
- la petite et la grande restauration
- Détails
Le FESDIG est bien plus qu'un festival de musique moderne et traditionnelle.
C'est également une manifestation visant à valoriser l'artisanat, la tradition et le monde rural burkinabè, illustrés ci-dessous par l'ouverture des stands en présence du Président, du Parrain et du Directeur du festival.
En outre, le FESDIG est également le catalyseur d'une série de projets visant à améliorer les conditions de vie et l'activité économique du village hôte, comme par exemple via :
- la réalisation d'un forage
- la création d'un Village du FESDIG, permettant d'accueillir toute l'année activités et visiteurs
- la mise sur pied d'un site internet, servant de vitrine à la fois au festival, aux artistes et à tous les projets connexes
- Détails
Ca y est, le coup d'envoi du FESDIG 2010 a été donné ce jeudi 15 avril avant-midi, avec une parade dans Fada N'Gourma animée parles Grands Hommes de Boromo, le groupe belge On Prend L'Air et l'artiste fadalais Harouna Thiombiano.
L'ambiance était assurée non seulement par la parade, mais également par la population nombreuse qui a entouré le cortège.
Mais quelques images valent mieux qu'un long discours...
- Détails
Du 15 au 18 avril 2010 se tenait à Tiantiaka, à 27km de Fada N'Gourma, le Festival Dilembu au Gulmu (FESDIG en abrégé).
Le festival, qui en est à sa 7ème édition, s'est bien professionnalisé au fil des années. Pour contribuer à cet évènement majeur de la culture moderne et traditionnelle de la culture burkinabè, Marc lui a conçu son site internet : www.fesdig.org.
Ce dernier a été lancé officiellement lors de la séance d'ouverture du FESDIG, parrainé cette année par Son Excellence Monsieur Adrien Théatre, Ambassadeur du Royaume de Belgique au Burkina Faso, en raison des nombreux liens unissant le festival et la Belgique.
Pour le lancement officiel du site internet, Marc a également été invité à prendre la parole pour une présentation de quelques minutes. A défaut de vidéoprojecteur, une image du site avait été imprimée pour la circonstance sur une banderole.
Enfin, en guise de remerciement pour service rendu, Alfred OUOBA, Directeur du Festival, a remis au nom du FESDIG et de l'ATCD une gravure sur cuir "de reconnaissance à Marc Dechèvre" (dernière photo ci-dessous), qui trône désormais dans notre salon...
- Détails
Pour ce qui est du texte, il est déjà suffisamment explicite : "interdiction d'uriner ici. 2000 francs d'amende". Sachant que 2000 CFA représente plus d'une journée de salaire pour beaucoup de gens, l'avertissement est clair.
Ceci étant dit, tout le monde ne sait pas forcément lire. Le propriétaire du mur a donc pris la peine d'illustrer son propos (peut-être en se prenant pour modèle au niveau des proportions ?)