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On n'aurait jamais imaginé profiter d'une fondue bourguignonne, qui plus est excellente, durant notre tour Bénin-Togo. C'était sans compter sur le Galion, super petit restaurant tenu par une famille suisse. Ca ne s'invente pas !
Les enfants ont pour leur part particulièrement apprécié leur mousse au chocolat.
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On ne peut pas prétendre avoir visité une ville africaine sans avoir fait un tour dans son marché.
Voici celui de Lomé, à même la rue, juste à côté de la cathédrale.
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Ce fut d'autant plus dépaysant que nous n'en avions plus vu depuis une dizaine d'année, en Inde : des rickshaws ! Nous ignorions qu'on en trouvait dans certains pays d'Afrique.
Les deux rickshaws ci-dessous circulaient sur le boulevard le long de la plage en direction du Ghana. Le jaune se trouve juste en face des fresques qui figurent sur le (long) mur de l'Ambassade d'Allemagne. Pour rappel, le pays fut un temps une colonie allemande, avant de passer aux mains françaises.
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La ville de Lomé, située à l'extrême Sud-Ouest du pays, jouxte donc à la fois le Ghana et le Golfe de Guinée.
L'occasion de faire une promenade le long de l'eau, avec quelques images typiques :
- des garçons jouant au football dans le sable (bon pour la condition physique !)
- une table de bar subtilement aménagée autour du tronc d'un cocotier
- une grande pirogue en avant-plan, avec un cargo quittant le port de Lomé en arrière-plan.
Quand la tradition côtoie la modernité...
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Le passage de la frontière entre le Bénin et le Togo ne nous aura pas pris plus d'une heure. Un tour de force quand on sait que nous étions neuf dans le minibus à devoir demander nos visas, en plus des traditionnels arrêts police/gendarmerie/douane.
Peut-être aussi commençons-nous à être aguerris aux passages de frontières (ex. : ne pas donner aux officiels le sentiment qu'on les presse, sans quoi la procédure dure deux fois plus longtemps, tout en établissant un bon contact pour accélérer autant que faire se peut la procédure).
Peu après le passage de frontière, nous effectuons un petit crochet pour aller admirer le lac Togo. Pirogues et pédalos attendent les touristes (encore rares vu les années difficiles qu'a connues le pays) qui souhaitent traverser le lac.
Mais nous nous passons de l'attraction afin de nous rendre directement à Lomé, à l'autre extrémité du pays en longeant la côte (soit une centaine de kilomètres à peine !)
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Nous arrivons enfin à la partie togolaise de notre voyage, où nos visites se sont concentrées sur la capitale, Lomé (à la côte, juste à la frontière ghanéene), et sur Kpalimé (à une centaine de kilomètres au Nord-Ouest).
Nous avons également passé une nuit à Kara, dans le Nord, avant de rejoindre le Burkina par une petite piste ralliant la ville de Pama... par laquelle nous étions passés aux premières heures de notre voyage, non loin de la frontière Béninoise. La boucle sera bouclée.
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Rien n'est perdu dans le palmier à huile. Exemple avec ces briquettes allume-feu. Les boules, réalisées avec les résidus du palmier à huile, sont elles-mêmes imbibées d'huile et, comme on le voit ci-dessous, ont une combustion relativement lente, bien que produisant une belle flamme.
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Le palmier à huile est un peu comme le couteau suisse : il peut servir à beaucoup de choses.
Par exemple :
- Son feuillage est tressé pour en faire des cloisons ou des toits naturels.
- La noix de palme est utilisée pour fabriquer de l'huile alimentaire (de façon artisanale par les populations locales ou de manière industrielle pour l'exportation)
- Ses déchets sont recyclés en briquettes allume-feu
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Parfois en sandwiches, parfois en entrée avec une vinaigrette miel-moutarde, nous mangeons de temps en temps des avocats. Même si on les trouve en effet dans la région, c'est la première fois qu'on avait l'occasion de les voir sur leur arbre.
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A moins d'être à l'aise pour grimper soi-même à mains nues sur le tronc d'un cocotier, il est préférable de s'adresser à un marchand pour satisfaire son envie de noix de coco.
Par la force des choses, on connaît en Europe surtout la noix de coco séchée. L'avantage ici, c'est qu'on peut la consommer fraîche : le vendeur entaille la noix au "coupe-coupe" au niveau de son sommet puis vous pouvez boire son liquide directement sans autre récipient. Enfin, on racle alors la chair du fruit à l'apparence blanche, pâteuse et -malheureusement- sans beaucoup de saveur.