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Dans la région, ce qui fait un tabac... ce sont les plantations de tabac. Ci-dessous :
- les jeunes pousses
- les pousses en fleurs
- le tabac prêt à l'emploi sur le marché local
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Chaque région a ses spécificités au niveau de la conception des greniers servant à stocker la récolte jusqu'à la saison suivante. Ici, ils sont typiquement montés sur quatre pieds de pierre afin de les isoler des insectes et des petits mammifères.
Ci-dessous :
- un hangar fait de branches de bois, sur lequel la récolte de sorgho a été posée
- un grenier fonctionnel, avec son toit de chaume
- deux greniers sur lesquels la récolte est en train de sécher au soleil
- un grenier à peine construit, permettant de bien voir la structure et la forme
- l'intérieur du grenier, où trois compartiments ont été prévus pour séparer le contenu (Tupperware n'a rien inventé)
A noter qu'il est très rare qu'un paysan accepte qu'on l'on jette un oeil à l'intérieur de son grenier. Cela correspondrait plus ou moins en Europe à montrer ses extraits bancaires...
Dans la même logique, seul le chef de famille a le droit de prélever du grenier. Sans autorisation, même l'épouse ne peut aller y puiser la ration nécessaire pour le repas du jour.
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En traversant un bosquet, nous croisons un villageois qui vient d'abattre et de débiter un arbre afin de se fabriquer (à la hache) un mortier.
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Sur notre chemin, nous rencontrons quelques femmes peuls sédentaires. Le taouage du visage est une caractéristique fréquente de l'ethnie.
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Nous avons deux marcheurs en herbe particulièrement robustes pour leur âge : après les balades de 2 heures en début de week-end (les trois premières photos : le pain de singe, fruit du baobab / la course après la montée de la colline se trouvant en arrière-plan / la pause dans les herbes), ils finissent en beauté le dimanche en piquant un sprint à l'approche des cascades de Kota après... 5h15 de marche.
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Après une marche de quelque 20 km, tandis que le soleil est au zénith, rien de tel qu'une baignade rafraîchissante (!) dans les cascades. Après un lunch au niveau supérieur des cascades, nous descendons à leur niveau inférieur. Seuls au monde, nous profitons de ce coin de paradis perdu sur terre.
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Point de caïmans dans le bassin au pied de la cascade. Tout au plus une libellule rouge vient nous surprendre près de l'eau.
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Le week-end touche à sa fin, il est temps de remonter vers le Burkina. Non sans faire un arrêt avant la frontière pour faire le plein. Le carburant est en effet moins cher au Bénin. En contrepartie (?) les pénuries, qui peuvent durer jusqu'à plusieurs semaines (!), sont fréquentes.
Et pour finir par une touche exotique, notre station-essence affiche les prix en... lires.
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La nature et la faune ne se commandent pas : on peut faire un safari et attendre deux jours à un endroit stratégique sans voir d'éléphants... tout comme on peut être à moins d'une heure de la maison et tomber comme ici, au bord de la route, sur un troupeau de plus de 30 spécimens !
C'est la première fois qu'il nous est donné d'en voir autant à la fois, qui plus est avec la vue dégagée qu'offre un point d'eau.
Un moment aussi rare que fort. A voir également ici à la rubrique vidéos.
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Pour son dernier repas à Fada avant de retourner deux semaines en Europe, Joke a organisé avec les enfants une "soirée restaurant" à la maison. Tout était parfait : depuis l'écriteau souhaitant la bienvenue à la mousse au chocolat, en passant par les menus écrits main et les zakouskis croquants.
Cela valait bien la photo de groupe, peut-être bien la première où nous figurons tous les cinq ensemble.
