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L'an dernier, les enfants avaient déjà été un peu initiés au djembé en suivant des leçons données par Mô avec une de leurs amies. Cette année, nous avons décidé de nous y mettre tous et, tant qu'à faire, à fabriquer nous-mêmes nos djembés. Non sans l'aide d'Harouna, musicien professionnel à Fada.
Tout commence par l'achat de matériel :
- un fût en bois rouge (Bouaké, du nom de la seconde ville de Côte d'Ivoire), ainsi qu'un rouleau de corde en polyester
- pour chaque djembé, un peau de chèvre bien sélectionnée (d'où le passage le matin à l'abattoir)
- une barre à béton de 8 mm de diamètre, chez le "quincailler du coin" pour réaliser les cerceaux
comptez trois mètres par djembé (un mètre par cerceau)
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L'abattoir de Fada, situé le long du barrage quelques centaines de mètres derrière le grand marché central, accueille d'ordinaire encore plus de visiteurs ailés que de visiteurs tout court. Une sorte de paradis sur terre pour les vautours, qui nettoient peaux et carcasses.
Quelques personnes s'affairent autour de l'animal fraîchement abattu, tandis qu'un boucher s'apprête à enfourcher son vélo chargé de morceaux choisis...
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Parmi les activités "parascolaires" que les enfants pratiquent l'après-midi avec Joke figure... la cuisine. Le menu choisi par nos petits cordons bleus pour l'occasion : roulade de jambon fourrée à l'omelette parfumée au basilic du jardin, accompagnant le "champignon fabrication maison" (le pied en poivron, le sommet en tomate, les taches blanches à la mayonnaise !). De quoi faire plaisir aux yeux comme au palais.
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Voici la scène d'un photographe photographié. La scène le méritait : Joke, venue pour prendre des photos officielles pour un visa, se fait tirer le portrait devant un linge blanc (fond blanc obligatoire !) tenu par l'assistant.
Et comme dirait le photographe (sic) : "vous souriez trop !". Malheureux réflexe occidental que de vouloir sourire sur les photos : ici, comme en Inde par exemple, plus on a l'air sérieux sur une photo, mieux c'est.
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A ce jour, mon plus beau cadeau d'anniversaire fabriqué par les enfants : Papaland !
Le jeu, avec son plateau, ses cartes etc, fonctionne à la façon d'un Cludeo : il faut découvrir qui a volé des douceurs dans la maison. Cela donne par exemple "je soupçonne maman d'avoir mangé le chocolat dans telle pièce". Il est également livré avec son mode d'emploi, rédigé et recopié consciencieusement par Quentin.
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Le dimanche 4 octobre, c'était l'anniversaire de papa ! Les enfants avaient donc ammené à Ouaga leurs surprises : une couronne siglée 38 et, surtout, un super jeu inventé et fabriqué par eux-mêmes (avec la complicité de Joke) : Papaland...
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Sont-ce des échassiers namurois égarés à Ouagadougou ?
Non, juste une animation aux Jardins de l'Amitié, célèbre maquis situé juste à côté du Rond-Point des Nations-Unies.
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Aimez-vous les uns les autres !
C'est sans aucun doute un message universel, mais c'est aussi pour la circonstance la traduction en français de "Nong Taaba", l'hôtel-restaurant avec piscine où nous avons passé une agréable après-midi de détente en famille élargie à Ouaga. Après avoir mangé sous la paillotte, rien de tel qu'un petit plongeon pour se rafraîchir de la bonne trentaine de degrés ambiants et qu'un petit verre au bar "immergé", assis sur les tabourets dans l'eau.
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Créé en 2004, le Salon International du Tourisme et de l’Hôtellerie de Ouagadougou (SITHO) tenait sa 6ème édition du 29 septembre au 4 octobre 2009. Puisqu'il coïncidait avec notre montée mensuelle à Ouaga, nous en avons profité pour y faire un tour. L'occasion pour Quentin et Audrey de trouver un modèle de cockpit pour leur grand avion installé dans le jardin (cfr articles précédents) ainsi que de tester le confort des sièges d'Air Burkina...
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On n'est pas aux Etats-Unis, mais c'est quand même ce qu'on peut appeler un camion personnalisé : Allahou Akbar, peut-on lire à l'arrière du camion, sous le grand portrait fait main de Modibo Keïta, Président de la République du Mali entre 1960 et 1968, panafricaniste et un tiers-mondiste convaincu. Sous le pare-choc figurent encore les portraits de trois autres personnalités.
Peut-être un concept à importer en Belgique à l'approche des élections ?