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Très second degré tout ça : une photographie... du photographe.
Lequel a le mérite de se concentrer sur l'essentiel : le portrait de l'intéressé(e).
A quoi bon disposer d'un spot ? Le soleil fait amplement l'affaire !
Pourquoi faire les frais d'un décor ? Un linge blanc tenu par un compagnon de discussion donnera le même résultat !
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Trust in God. L'inscription figurant à l'arrière du camion de la première photo ci-dessous donne le ton. Le bus versé dans le fossé aide peut-être à comprendre pleinement de sens de l'assertion...
Pour le reste, les charrettes côtoient les camions surchargés, les deux-roues comptent rarement une personne seule et les camionnettes emportent même leurs passagers debouts sur le pare-choc.
Quant aux camions, s'ils sont précédés de branchages sur l'autoroute, cela veut simplement dire qu'ils sont en panne. S'il n'y a pas de branchages, deux possibilités : ou bien il est en train de rouler, ou bien il fait simplement une halte.
Une petite faim sur la route ? Pas de problème, il suffit d'ouvrir la vitre au village suivant pour acheter bananes séchées, petits gâteaux etc.
Enfin, difficile de rater les différents postes d'Iles de Paix, signalés par le célèbre module le long de la route Ouaga-Fada.
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L'avantage de la saison des pluies, c'est qu'on bénéficie un jour sur deux d'une piscine dans le jardin...
Pour le reste, la maison est également livrée avec son mini jardin zoologique, incluant notamment vautours et lézards. Pour ces derniers, les spécimens évoluent tant à l'extérieur qu'à l'intérieur.
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Mangues ou bananes plantains ?
Pas de problème, on trouve tout au marché de fruits & légumes à Ouaga. Même pas besoin de sortir de la voiture, les vendeuses viennent à vous. Une sorte de "drive through" (pour peu que l'on puisse se frayer un chemin)...
Quant au Coke Side of Life, visiblement, nul besoin d'avoir un beau camion rouge comme dans la pub.
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Tadaaa... Voici une plaine de jeux à Ouaga. Enfin, la plaine de jeux de Ouaga. Disons même probablement la plaine de jeux du Burkina Faso.
Elle est située dans le Parc Urbain Bangr Weoogo, à l'Est de Ouaga (sur le chemin vers Fada donc).
Ce sera en principe un point de passage obligé lors de nos escapades mensuelles à la capitale.
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Un lundi à Ouaga. Il est 13 heures et on rentre juste après l'achat du vélo. Il fait chaud et il fait "faim". Sur le chemin vers la maison de passage, nous nous arrêtons... à la friterie du coin. Une vraie, avec de l'huile chaude et (plus rare) des pommes de terre.
Ci-dessous, respectivement, la photo d'ensemble de la friterie, un zoom sur la "friteuse" et une vue sur la confection des sachets (au sens propre) de frites !
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Les deux-roues sont rois au Burkina, les voitures étant évidemment trop chères en regard des revenus locaux. En attendant l'éventuel achat d'une moto, Marc fait les frais d'un super vélo-tout-terrain pour aller en brousse... ou encore au cyber-café pour, par exemple, mettre à jour le présent site :-)
Sur la photo ci-contre, l'atelier où le vélo vient d'être monté.
Les vélos de Laurence, de Quentin et Audrey ont été envoyés par bateau et devraient arriver dans quelques semaines, "si Dieu le veut" comme on dit ici.
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Lundi 1er septembre. Une date toute indiquée pour l'arrivée de Petra ! Après l'accueil à l'aéroport, on prend un premier verre ensemble au "Moulin Rouge" sur la Kwame Krumah (l'équivalent des Champs Elysées, toutes proportions gardées :-)
Le lendemain, premier repas à la maison à Fada. Petra est déjà serrée de près par son fan-club : Quentin et Audrey...
Le soir, première leçon de violon pour Quentin, trop impatient de commencer son instrument !
Le 3 septembre au matin, les choses sérieuses commencent : c'est la rentrée des classes. Bon d'accord, sur une terrasse et par 25 degrés, on a le sentiment que la transition se fait en douceur.
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Jean, notre chef-coq, n'est plus notre chef-coq après avoir volé "quelques" billets chez nous.
Un épisode certes pas très agréable pour nous, mais au final encore moins pour notre voleur. Le vol étant considéré ici comme un délit très (très) grave, la police burkinabè l'a gardé 72 heures au cachot pour "échanger" avec lui (cuisiner le cuisinier, un comble !). Nous-mêmes avons passé de nombreuses heures au poste pour instruire le dossier, traité par ailleurs de manière super-professionnelle.
Au terme de la garde à vue, nous avons retiré notre plainte pour mettre fin à la procédure standard... qui aurait coûté plusieurs mois (!) de prison à l'intéressé.
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Les voleurs sont donc sous les verrous. Soit dit en passant, notre lave-linge aussi !
Dans la mesure où il doit probablement s'agir du premier lave-linge de Fada N'Gourma (on lave le linge à la main. OMO a encore de beaux jours devant lui...), tout le monde a l'air très stressé qu'il disparaisse. D'autant qu'il est installé sur la terrasse arrière.
Du coup, on nous a soudé une belle cage enchâssée dans un socle de béton. Bref, l'harmattan peut se mettre à souffler, on ne risque pas qu'il s'envole !