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Un compteur de visite a été installé mi-septembre sur le site.
Un mois et demi plus tard, nous approchons les 900 visites. Autrement dit, près de 20 visites par jour, soit infiniment plus que ce que nous avions imaginé, l'existence du site n'ayant été communiquée qu'à nos connaissances directes.
Toujours est-il qu'en attendant vos visites "physiques", ces visites "virtuelles" nous font énormément plaisir.
Mais nous serions également heureux de savoir qui vous êtes, visiteur occasionnel ou régulier, d'avoir de vos nouvelles et, puisque le présent site est le trait d'union entre vous et nous, aussi de recevoir votre feedback sur son fond et sa forme.
A vos claviers donc !
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A l'occasion des 25 ans de présence d'Iles de Paix au Burkina, un groupe de bénévoles de la campagne annuelle de vente de modules consacre sa semaine de Toussaint à venir visiter les projets et échanger avec toutes les populations et les équipes impliquées dans ceux-ci.
Ce vendredi 31 octobre, Marc s'est joint au groupe pour la journée consacrée à Yamba. En voici quelques photos :
- à la base d'Iles de Paix de Yamba, formation des villageois impliqués dans les conseils Villageois pour le Développement
- "Iles de Paix" écrit en gourmantchema : "ildepe"
- à l'occasion de la visite, les bénévoles belges expliquent brièvement comment sont récoltés les fonds servant aux différents projets d'Iles de Paix : la vente des modules...
- visite du barrage de Baagou, servant notamment comme on le voit ici à abreuver le bétail
- femme en train de pomper de l'eau potable
- visite d'un forage : il est possible de puiser jusqu'à 700 litres d'eau par heure. Appréciable, quand on sait que certains villages disposaient à peine de 7 litres d'eau par personne et par jour...
- présentation par les équipes locales, sous le manguier. En pleine brousse, nul besoin de PC ni de Powerpoint pour assurer une présentation efficace !
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On ne voudrait pas faire de jaloux, mais nous sommes en novembre... et nous continuons à faire des barbecues (sur un modèle 100% local soit dit en passant).
Bon, sûr qu'on ne doit pas braver le gel ou la neige fondante qui, aux dernières nouvelles, ont fait leur apparition en Belgique : il fait en effet toujours plus de 30 degrés à l'ombre à l'heure du repas.
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A la veille de l'arrivée finale du Tour du Faso à Ouagadougou, il fait étape à Fada N'Gourma.
Et le maillot jaune est toujours... belge !
A Fada, pas besoin d'avoir un badge de presse pour être bien placé pour son reportage photos. Voyez plutôt ci-dessous :
- la banderole de l'arrivée, "Sous le haut patronage de son Excellence Blaise Compaore, Président du Burkina Faso"
- le public amassé à la ligne d'arrivée
- deux spectatrices attentives : Petra et Laurence
- la gendarmerie ouvre le cortège. Debout sur la moto toutes sirènes hurlantes
- le sprint final
- le Gouverneur de l'Est (notre voisin, rien de moins !), qui participe à la remise des prix
- Guy Smet, notre maillot jaune belge
- l'équipe belge bien placée (avec notre maillot vert, Lionel Syne)
- le camion où sont soigneusement rangés les vélos des coureurs
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Nous avions déjà fait un premier tour sur le marché à bétail il y a quelques semaines. Nous y sommes retournés ce dimanche.
A cette période de l'année, les plus gros zébus peuvent atteindre 300.000 cfa, soit quelque 450 euros. Ce qui place le kilo de viande à 1500 cfa, soit près de 2,50 €.
S'ils représentent clairement la part la plus importante du marché, on peut y trouver également ânes, moutons et chèvres.
Ainsi que pintades et poulets : sur la photo, les pintades se trouvent dans la cage sur la tête, les poulets sont accrochés par paires aux bras.
Et si en général ce sont les ânes qui tirent les charrettes dans lesquelles sont assis des hommes, on peut ici voir le contraire : un homme qui tire à la main sa charette dans laquelle est couché un zébu !
La foule conséquente que draine le marché est l'occasion pour les tradipraticiens d'exercer leurs talents : si vous avez besoin d'une potion pour attirer l'attention de la femme que vous aimez mais qui vous ignore, si vous souhaitez vous prémunir des accidents grâce à un anneau magique, si vous avez besoins d'ingrédients pour préparer un (bon/mauvais) sort, si des génies vous épient le soir par-dessus votre portail, si vous avez besoin d'un fétiche, passez votre commande : je peux vous fournir auprès de l'homme à la langue élégamment percée que vous apercevez ci-dessous.
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Un spectacle à La Belle Etoile, ça ne veut pas seulement dire un spectacle à ciel ouvert, mais surtout un magnifique condensé de culture Gourmantché (dont vous pouvez voir quelques extraits dans la rubrique vidéos du site : violon, musique, théâtre et danse) :
- musique et chansons avec Harouna Thiombiano
- théâtre avec la troupe de l'ATCD, qui par ses sketches thématiques, participe notamment dans des villages à des projets de sensibilisation à la scolarisation, à la prévention du sida, à l'importance pour la santé de boire de l'eau potable au lieu de l'eau du marigot le plus proche...
- danse traditionnelle du Gourma, aussi impressionnante que physique !
- ... et en bonus, un petit concert de violon par Petra. L'occasion pour tous les Burkinabè présents de découvrir un instrument inconnu ici
La Belle Etoile (auberge) appartient à Alfred Ouoba. Nous avons parlé de lui à certains d'entre vous car il est également tour operator et peut vous proposer un programme sur mesure en fonction de votre budgets et de vos centres d'intérêt si vous nous rendez visite et que vous voulez sillonner le pays (depuis plusieurs années, il organise des voyages pour les écoles belges qui viennent ici via les Iles de Paix).
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Ce lundi, visite de terrain au Bénin pour Laurence, suivie d'une réunion mardi avec l'équipe de Natitingou.
- au bord de la route, peu avant la frontière béninoise, l'occasion de s'acheter du poisson séché provenant de barrage de la Kompienga
- ensuite, arrêt au périmètre irrigué de Tchakalakou, un des projets d'Iles de Paix au Bénin. Les pic-boeufs survolent les différentes parcelles, exploitées par les paysans. Une fois le riz récolté, on rentabilise les terres en cultivant du piment (excellent dans l'omelette matinale, soit dit en passant)
- sur les bords de route et sur les collines, les feux de brousse...
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Pas besoin de faire (tout) un cinéma -surtout que le plus proche est à 3 heures de route- pour manger un sachet de pop corn, il suffit de le faire soi-même : des graines de maïs, produit localement, un fond d'huile, une casserole et une couvercle ou une grille (sauf à vouloir se servir directement au plafond).
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Hé, c'est pas parce qu'on est en Afrique qu'on ne souffre pas des grands froids ! J'en veux pour preuve Hassan, notre gardien (en alternance avec Issaka), qui a sorti gros manteau et épais bonnet de laine.
C'est que son métier est rude : passer toute la nuit dehors alors que la température peut maintenant descendre jusqu'à (+) 25° !
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Quelques champs de coton bordent la route Ouaga-Fada (voyez les petites boules blanches). Le Burkina fait en effet partie des pays producteurs de coton, même s'il souffre de la concurrence asiatique, notamment pour sa transformation.