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La fin de la saison des pluies annonce la récolte du riz. Voici une séquence photos du processus complet
- le fauchage du paddy (le nom du riz tant qu'il n'est pas décortiqué)
- la pause-déjeuner, à l'ombre d'un grand arbre
- le séchage à même le champ
- le champ fauché
- le séchage centralisé
- le battage
- le vannage du riz : à l'aide de grandes calebasses, on laisse tomber le riz que le vent va filtrer
- les tas de riz ainsi obtenus
- les sacs de riz de 100 kg
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Le temps de trajet vers Yamba s'est considérablement allongé en raison des dégradations de la piste occasionnées par l'hivernage (saison des pluies). Alors que 20 minutes étaient suffisantes il y a quelques mois, il faut maintenant compter une bonne heure.
Ci-dessous, quelques photos du trajet :
- la piste en latérite, ici avec une charrette tirée par un âne
- le barrage de Tandyari, qui alimente Fada en eau
- les panneaux ne sont certes pas fréquents sur la piste, mais Yamba est suffisamment grand pour en mériter un
- l'antenne locale d'Iles de Paix est indiquée au bord de la piste par un "module géant"
- une fois arrivé, on prend soin de garer la voiture... à l'ombre !
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Au programme de 15 octobre, visite de terrain pour Laurence. En l'occurrence, à Yamba pour y voir l'implémentation des "carrés de rendement", c'est-à-dire de surfaces délimitées dont on mesure précisément la production afin d'avoir une référence du rendement des différentes zones d'exploitation.
L'occasion d'échanger avec l'équipe de terroir de Yamba ainsi qu'avec les paysans.
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La randonnée en montagne, on aime ça. Ceci étant dit, vu le relief particulièrement plat de Fada, à défaut de randonnée on peut donc toujours pratiquer le vélo...
Fada a néanmoins son célèbre point culminant, à savoir le sommet de la Colline du Chef, où le chef traditionnel opère ses sacrifices par l'entremise de ses ministres. Raison pour laquelle la plupart des autochtones évite de la gravir.
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Toutes proportions gardées et comme dirait Quentin, voici le "mini-Plopsaland" de Ouaga : le Faso Parc.
15 eurocents l'entrée, idem pour une portion de pop-corn maison, 50 eurocents pour trampoline ("sans filet") et 75 eurocents pour les auto-tamponneuses et pour la grande roue.
Même en période de super-promotion, Disneyland Paris ne fait pas mieux !
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L'avantage d'avoir son anniversaire lorsqu'on est au Burkina Faso, c'est qu'on peut se faire inviter au Gondwana.
Dès qu'on a passé le seuil du restaurant situé dans la capitale, on a l'impression d'avoir été téléporté et de se retrouver sur une autre planète.
Sûr que ça nous change des maquis de Fada...
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Pourquoi une photo de pain au chocolat sur le site ? Mais parce que c'est notre premier pain au chocolat depuis deux mois et que ça en devient un événement et un plaisir hors du commun.
Le grand luxe à peu de frais, en somme !
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Sur la photo ci-contre, le rond-point des Nations Unies, point central de Ouagadougou.
La planète qui agrémente son centre illustre la solidarité planétaire.
Les crises aussi deviennent planétaires. Mais même la crise financière la plus importante depuis un siècle se conçoit avec plus de recul dans le Sud : pour ceux qui n'ont pas et n'auront jamais d'épargne, la question de la baisse des actions est un problème très relatif...
A titre d'exemple, pour l'évaluation de l'impact de son action sur la sécurité alimentaire, le questionnaire d'Iles de Paix inclura la question suivante: "mangez-vous 2 repas par jour en période de soudure ?"
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Etre à Ouaga, ça veut dire pouvoir aller au cinéma. Comme par exemple ce dimanche à 10h30 au cinéma Neerwaya (le cinéma de Ouaga, climatisé...).
A l'affiche, pour les enfants, La véritable histoire du Petit Chaperon Rouge (sorti en 2006).
Ceci dit, il faut savoir se montrer souple sur la programmation de l'unique salle. Comme par exemple lorsque vingt minutes après l'heure officielle de la séance, le projectionniste vient annoncer à la salle que "finalement, il y a un petit problème avec la bande du film prévu et que, par conséquent, il sera remplacé par Fourmi malgré lui."
Et dire qu'en Belgique on doit payer un supplément pour avoir un film "surprise"...
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En vitesse de croisière, nous devrions "monter" sur Ouaga une fois par mois. L'occasion de prendre un bon bain de culture. Par exemple, sur les photos ci-dessous :
- le Centre Culturel Français, au programme riche et varié : www.ccfouaga.com
- comme par exemple les Récréatrâles 2008
- la Maison du Peuple, où se tiennent notamment les concerts
- comme ceux du festival Hip Hop (avec ce vendredi Disiz la Peste, pour ceux qui connaissent notamment la musique du film Taxi)
- l'affiche du Fespaco, le festival panafricain du cinéma de OUagadougou (la plus grande manifestation et le plus grand carrefour du cinéma Africain), qui se tiendra du 28 février au 7 mars prochain : www.fespaco.bf